heaume bec de passereau
heaume bec de passereau qui s'ouvre en acier de 1.6mm riveté décoré au laiton avec interieur réglable. grande popularité parmi les chevaliers et les guerriers de toute l’Europe jusqu’en 1420 environ
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heaume bec de passereau qui s'ouvre en acier de 1.6mm riveté décoré au laiton avec interieur réglable. grande popularité parmi les chevaliers et les guerriers de toute l’Europe jusqu’en 1420 environ
Le casque fermé a été développé à partir des versions ultérieures du Sallet similaire à la fin du XVe siècle. Dans les sources contemporaines, il était parfois aussi appelé un «Armet», bien qu'une distinction claire est faite entre les deux types. Bien qu'extérieurement très semblable à l'armet, le casque étroit avait une méthode complètement différente d'ouverture. Comme l'armet, le casque étroit suivait les contours de la tête et du cou de près, et rétréci à la gorge, donc il fallait une méthode mécanique pour l'ouverture et la fermeture. Alors qu'un Armet s'ouvrit latéralement à l'aide de deux grandes pieces articulées, un casque étroit s'ouvrit verticalement par une charnière tournante intégrale, qui était attaché aux mêmes pivots que sa visière. Les pièces mobiles étaient généralement fixées lorsqu'elles étaient fermées par des crochets pivotants engageant des agrafes percées. Alternativement, les goujons à ressorts peuvent être utilisés. La face était souvent tenue fermée par une sangle. 2
Le bascinet, également berceau, bassinou, ou bazineto, était un casque militaire européen médiéval à visage ouvert. Il a évolué à partir d'un type de calotte en fer ou en acier, mais avait un sommet plus pointu au crâne, et il s'étendait vers le bas à l'arrière et les côtés pour offrir une protection pour le cou. Un rideau de courrier («camail» ou aventail) était habituellement fixé au bord inférieur du casque pour protéger la gorge, le cou et les épaules. Une visière (garde-face) était souvent utilisée à partir de 13 30 environ pour protéger le visage exposé. Au début du XVe siècle, le camail a commencé à être remplacé par une gorge de tôle en métal, donnant naissance à ce que l'on appelle le « grand bascinet ».
La première référence enregistrée à un bascinet, ou bazineto, a été dans la ville italienne de Padoue en 1281, quand il est décrit comme étant porté par l'infanterie.
On croit que le bascinet a évolué à partir d'une simple calotte en fer, connue sous le nom de cervelliere, qui a été porté avec un camail, soit comme la seule forme de protection de la tête. Le bascinet est différencié de la cervelliere en ayant un crâne plus haut et pointu. Vers 13 30, le bascinet fut étendu plus bas sur les côtés et à l'arrière de la tête. Dans les 20 années suivantes, il s'était étendu à la base du cou et avait couvert les joues. Le bascinet est apparu tout à coup à la fin du XIIIe siècle et certaines autorités y voient une influence sur les casques musulmans byzantins ou du Moyen-Orient. Le bascinet, sans visière, a continué à être porté
les visières de la première moitié du XIVe siècle avaient tendance à être d'un profil relativement plat avec peu de projection du visage. Ils avaient des fentes oculaires entourées d'une bride pour aider à dévier les armes. Vers 1380, la visière, à cette époque considérablement plus grande que les formes antérieures, a été dessinée en forme conique comme un museau ou un bec, avec les noms de «hounskull» (de l'allemand hundsgugel - «capuchon du chien») ou «face de porc» bec de passereau en France(dans le langage moderne). Le museau saillant a donné une meilleure protection au visage contre des coups en offrant une surface de déviation et il a amélioré la ventilation (qui a été en grande partie accordée au porteur,quand la visière était vers le bas, de tels trous étant souvent sur la droite supplémentaires près de la bouche, ou des deux côtés. Le casque à visière proposé ici est basé sur des spécimens originaux du 14ème siècle (vers 1370). Il est fabriqué en acier d’environ 1,6 mm d’épaisseur et dispose d’un écran facial mobile et entièrement amovible, qui est maintenu en place en toute sécurité par des goupilles et renforcé par des bandes de laiton rivetées. La visière est équipée de deux fentes d’observation d’environ 9 cm de long et 0,6 cm de large, et les nombreux renfoncements ronds sur le côté droit ainsi que deux fentes plus petites au niveau de la bouche assurent la circulation d’air nécessaire.
Sur les côtés et sur le bord inférieur du casque, des vervelles dites en laiton étaient fixées. Ces petits rivets saillants percés de trous sont utilisés pour fixer une rainure de chaîne (la tresse n’est pas incluse).
L’intérieur est noirci pour une meilleure protection contre la corrosion et dispose d’une incrustation réglable en tissu de lin, qui est fixée au bord de la cloche du casque avec des coutures robustes.
Ce casque de chevalier portable est le mieux adapté aux décors de la fin du Moyen Âge et est idéal pour compléter l’armure d’un guerrier européen. Il rendra votre transformation en un fier chevalier tout simplement parfaite et constitue également un excellent ajout décoratif au trésor de tout collectionneur de casques.
Détails : - Matériau : acier de 1,6 mm (visière d’environ 1,2 mm), ferrures en laiton, entrée en tissu (lin)- Convient
pour un tour de tête jusqu’à environ 63 cm - Longue distance intérieure (arrière de la tête-front) : environ 21 cm- Courte distance intérieure (oreille-oreille)
: environ 19 cm- Hauteur : environ 26 cm
- Poids :
environ 3200 g
Les spécifications ci-dessus peuvent varier légèrement d’un échantillon à l’autre.
L’acier utilisé ici n’est pas résistant à la rouille et peut présenter de légers signes de corrosion. Nous recommandons d’entretenir régulièrement les casques, par exemple avec Ballistol, une huile universelle idéale pour la conservation des produits en acier.